La célèbre phrase de Sansa Stark dans Game of Thrones, « Quand la neige tombe, et souffle le vent, le loup solitaire meurt mais pas la meute », illustre parfaitement l’essence du management collectif. Dans un environnement professionnel, tout comme à Westeros, les défis et crises sont inévitables. Mais ce sont les liens solides au sein d’une équipe, entre les différents niveaux hiérarchiques, et avec les services transverses, qui permettent de résister aux tempêtes.
⛱︎ Ce qu’en pense Coach Busters… 👇
Je ne sais pas si Sansa est la meilleure référente en matière de management, mais il semble qu’elle ait capté l’essentiel. « Quand la neige tombe, et souffle le vent, le loup solitaire meurt mais pas la meute. » Tout est dit. En tant que manager, il est essentiel de ne jamais s’isoler. Parce que, que ce soit à Westeros ou dans le monde du travail, les « Winter qui coming » sont nombreux (doux euphémisme).
Rester en proximité de ton équipe : Ne jamais perdre le lien
Un manager n’est pas un passe-plat ! Cela ne se limite pas à distribuer des tâches et à s’assurer que les objectifs sont atteints. Non, un bon manager doit rester proche de son équipe. Cela signifie maintenir des points de contact réguliers, non seulement pour vérifier l’avancement des projets, mais aussi pour comprendre la réalité de terrain, les difficultés, les réussites. Le coaching est hyper présent dans le management. Le faire derrière un PC et distribuer des mails n’a pas de sens.
En restant connecté, tu peux ajuster ta manière de faire, adapter tes demandes en fonction des événements ou des objectifs. Cette proximité te permet aussi de détecter les signaux faibles, ces petites choses qui peuvent, si elles ne sont pas prises en compte, devenir de gros problèmes.
Le Lien entre homologues managers : S’inspirer mutuellement
Ce serait une erreur de croire que, parce que tu as un poste de responsabilité, tu dois tout porter seul. Les échanges entre homologues sont précieux. Parle de tes réussites, partage tes difficultés, et écoute celles des autres. Tu serais surpris de voir à quel point tu peux apprendre en échangeant avec tes pairs.
Ces discussions permettent de “purger” le négatif (s’il y en a), de te rendre compte que tu n’es pas seul à affronter certaines situations, et de découvrir des méthodes ou des astuces auxquelles tu n’avais pas pensé. Un autre manager a peut-être déjà surmonté une difficulté que tu rencontres actuellement, et son expérience peut t’être d’une aide précieuse. Alors, n’hésite pas à tendre l’oreille et à ouvrir la bouche.
Le Lien avec la hiérarchie et les services transverses : Comprendre l’Ensemble
Peu importe la nature de tes relations avec eux, il est vital de les nourrir par des points de contact réguliers. Un bon manager est là pour te soutenir, te conseiller, et t’apporter des solutions, prendre du recul. C’est une ressource à ne pas négliger. De plus, ces échanges permettent aussi de recevoir des félicitations, des conseils, ou même des anecdotes qui peuvent t’inspirer.
Quant aux services transverses, ils sont indispensables pour comprendre l’ensemble du fonctionnement de l’entreprise. En échangeant régulièrement avec eux, tu peux mieux saisir leurs problématiques, t’adapter en conséquence, et ainsi faciliter la collaboration interservices. Ne sous-estime jamais l’importance de ces échanges. Ils te permettent de rester connecté à la réalité de l’entreprise dans son ensemble. Petit avantage, cela permet parfois de dénouer certaines situations internes et de tisser ta toile en interne. Jamais inutile.
Conclusion : Le Manager, Lien Essentiel de la Meute
Le rôle d’un manager est stratégique et essentiel au bon fonctionnement d’une structure. Tu es le lien entre ton équipe, tes homologues, ta hiérarchie, et les services transverses. Pour jouer ce rôle de la meilleure manière possible, il est crucial de cultiver ces relations. Comme Sansa nous le rappelle, c’est en restant soudé, en formant un tout, que tu pourras affronter tous les hivers qui se présentent. Alors, reste connecté, reste soudé, et ne laisse jamais l’isolement t’affaiblir, car un « winter » n’est jamais très loin !
